source :
Faits constatés par département de 2002 à 2010
Ensemble des faits constatés par les services de police et les unités de gendarmerie nationales de 2002 à 2010 par département en métropole.
Premier Ministre
www.data.gouv.fr
Faits constatés par département de 2002 à 2010
Ensemble des faits constatés par les services de police et les unités de gendarmerie nationales de 2002 à 2010 par département en métropole.
Premier Ministre
www.data.gouv.fr
Je concluais le billet d'hier sur cette question : comment évaluer le rapport entre les atteintes aux biens (pour mille habitants) et l'ensemble des faits constatés (pour mille habitants) ?
La réponse est simple : en regardant le poids des atteintes aux biens sur l'ensemble des faits constatés.
On peut voir cette réponse de manière mathématique : en faisant le rapport entre les données qui sont derrière la carte d'hier (Atteintes aux biens pour 1000 habitants) et celles qui sont derrière la carte du 15 mars (Faits constatés pour 1000 habitants), on peut simplifier la fraction en y enlevant le membre "pour 1000 habitants". Il reste donc simplement le rapport entre atteintes aux biens et faits constatés.
Maintenant regardons la carte. De manière flagrante, elle est très différente des autres cartes qu'on a déjà pou faire sur le sujet des faits constatés. On y voit clairement deux zones : l'une sur la façade atlantique entre Saint-Malo et le département de la Gironde, l'autre autour d'une ligne Toulouse-Grenoble qui passerait le long de la Méditerranée. Dans ces deux zones-là, le poids des atteintes aux bien sur l'ensemble des faits constatés est plus élevé qu'ailleurs.
Une conclusion ultra-hâtive et archi-caricaturale serait de dire "on cambriole plus au bord de la mer".
Deux grandes nuances sont à apporter. La première est de dire que, en plus d'avoir quitté tout rapport "à mille habitants", on ne se réfère jamais qu'aux faits constatés ; il peut très bien y avoir encore plus d'atteintes aux biens dans un département apparaissant ici dans la tranche basse, mais encore encore plus d'atteintes d'autres types !
Le seconde est de regarder la légende et de remarquer que, tout compte fait, les tranches ne sont pas très profondes : l'amplitude du poids mesuré ici n'est jamais que de 20 points. Plus précisément, ce poids va de presque 65% (dans les Hautes-Alpes) à un peu plus de 83% (dans le Gard).
La réponse est simple : en regardant le poids des atteintes aux biens sur l'ensemble des faits constatés.
On peut voir cette réponse de manière mathématique : en faisant le rapport entre les données qui sont derrière la carte d'hier (Atteintes aux biens pour 1000 habitants) et celles qui sont derrière la carte du 15 mars (Faits constatés pour 1000 habitants), on peut simplifier la fraction en y enlevant le membre "pour 1000 habitants". Il reste donc simplement le rapport entre atteintes aux biens et faits constatés.
Maintenant regardons la carte. De manière flagrante, elle est très différente des autres cartes qu'on a déjà pou faire sur le sujet des faits constatés. On y voit clairement deux zones : l'une sur la façade atlantique entre Saint-Malo et le département de la Gironde, l'autre autour d'une ligne Toulouse-Grenoble qui passerait le long de la Méditerranée. Dans ces deux zones-là, le poids des atteintes aux bien sur l'ensemble des faits constatés est plus élevé qu'ailleurs.
Une conclusion ultra-hâtive et archi-caricaturale serait de dire "on cambriole plus au bord de la mer".
Deux grandes nuances sont à apporter. La première est de dire que, en plus d'avoir quitté tout rapport "à mille habitants", on ne se réfère jamais qu'aux faits constatés ; il peut très bien y avoir encore plus d'atteintes aux biens dans un département apparaissant ici dans la tranche basse, mais encore encore plus d'atteintes d'autres types !
Le seconde est de regarder la légende et de remarquer que, tout compte fait, les tranches ne sont pas très profondes : l'amplitude du poids mesuré ici n'est jamais que de 20 points. Plus précisément, ce poids va de presque 65% (dans les Hautes-Alpes) à un peu plus de 83% (dans le Gard).