Dans mon billet de vendredi dernier je parlais des graphes cubiques que je dessinais au collège, sur du papier quadrillé avec une règle et un stylo-plume. Puis j'évoquais le changement survenu un peu plus tard, lorsque j'avais eu ma première calculatrice graphique.
Du coup, j'ai repensé aux nombreux errements curvilignes que j'y avais dessinés. Bon, je crois que faire des cubes et des lignes droites sur un écran, ça n'aurait pas été très inspirant, de toute façon. En revanche, sinus et cosinus ouvraient des voies... qui, à l'inverse, n'auraient pas été très faciles à explorer sur papier !
Bref. Voici le type de courbes que je programmais sur ma Casio, avec les options de représentation graphique de fonctions.
Pour faire quelque chose de similaire sous Excel, la démarche est différente puisqu'on n'a pas d'outil de traçage de courbe à partir d'une fonction. J'ai donc constitué ici un ensemble de points à partir de la série des entiers de 0 à 100. A partir de chaque entier, je définis les coordonnées du point : l'abscisse est basée sur le sinus du nombre, et l'ordonnée sur le cosinus du carré du nombre. Avec une multiplication (pour que tous les points ne soient pas serrés entre -1 et +1) et une addition (pour décaler le graphe par rapport aux axes).
Et une bonne louche de cosmétique pour essayer de retrouver l'allure vintage de mon écran Casio.
Du coup, j'ai repensé aux nombreux errements curvilignes que j'y avais dessinés. Bon, je crois que faire des cubes et des lignes droites sur un écran, ça n'aurait pas été très inspirant, de toute façon. En revanche, sinus et cosinus ouvraient des voies... qui, à l'inverse, n'auraient pas été très faciles à explorer sur papier !
Bref. Voici le type de courbes que je programmais sur ma Casio, avec les options de représentation graphique de fonctions.
Pour faire quelque chose de similaire sous Excel, la démarche est différente puisqu'on n'a pas d'outil de traçage de courbe à partir d'une fonction. J'ai donc constitué ici un ensemble de points à partir de la série des entiers de 0 à 100. A partir de chaque entier, je définis les coordonnées du point : l'abscisse est basée sur le sinus du nombre, et l'ordonnée sur le cosinus du carré du nombre. Avec une multiplication (pour que tous les points ne soient pas serrés entre -1 et +1) et une addition (pour décaler le graphe par rapport aux axes).
Et une bonne louche de cosmétique pour essayer de retrouver l'allure vintage de mon écran Casio.